On nous apprend à tenir bon, à serrer les poings, à tout contrôler… mais jamais à relâcher.
Pourtant, le vrai courage, parfois, c’est de reconnaître qu’on ne peut pas sauver ce qui ne veut pas l’être.

Mais ce que tu ne vois pas toujours, c’est que ce contrôle permanent te fatigue plus qu’il ne te protège.

Tu cherches à verrouiller chaque détail, à anticiper chaque imprévu, à répondre à toutes les attentes… Et à la fin, tu n’as plus de place pour toi.

Lâcher prise, ce n’est pas tout abandonner

Ce n’est pas renoncer, ni être faible. C’est choisir consciemment de ne plus t’accrocher à ce qui te fait mal, à ce que tu ne peux pas changer. C’est accepter que certaines choses t’échappent et que ce n’est pas une menace. C’est juste la vie.

Lâcher prise, c’est comme poser un sac trop lourd que tu portes depuis trop longtemps. Tu ne deviens pas moins forte en le déposant. Au contraire : tu redeviens libre de marcher plus loin.

Quand tu lâches… quelque chose change à l’intérieur

• Ton corps respire à nouveau.
• Ton esprit devient plus léger.
• Ta confiance reprend doucement sa place.

Ce n’est pas un grand déclic magique. C’est un chemin doux, parfois un peu inconfortable, mais profondément libérateur.

À RETENIR

Ce n’est pas “laisser faire la vie” passivement.

C’est reprendre ta puissance autrement : en cessant de te battre contre l’incontrôlable, pour mieux avancer sur ce que tu peux vraiment nourrir.



Avec seulement quelques séances, il peut devenir un outil simple à appliquer à tout moment.

La confiance en soi n’est pas un trait de caractère figé, c’est une force que l’on peut développer chaque jour.

Bonne nouvelle : avec quelques habitudes simples, vous pouvez renforcer votre assurance et oser avancer vers vos objectifs.

1. Adoptez un dialogue intérieur positif

Nos pensées influencent directement nos actions. Remplacez les phrases négatives

(« je ne vais pas y arriver ») par des affirmations encourageantes (« je progresse chaque jour »).

Ce changement d’état d’esprit nourrit l’estime de soi.

2. Célébrez vos petites victoires

Chaque pas compte : un mot prononcé en public, une décision assumée, une action menée malgré la peur. En prenant le temps de reconnaître vos réussites, vous construisez une base solide de confiance.

3. Osez sortir de votre zone de confort

La confiance se développe dans l’action. Testez de nouvelles expériences, même petites : parler à quelqu’un de nouveau, essayer une activité, exprimer une opinion. Ces micro-défis deviennent des preuves concrètes de vos capacités.

Retrouver confiance en soi demande du temps, mais chaque geste compte.

Vous n’êtes pas seul : un accompagnement personnalisé peut accélérer ce processus et vous aider à transformer vos blocages en opportunités.

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Dire « non » n’est pas un signe de faiblesse ou d’égoïsme.

C’est au contraire un acte de respect envers soi-même.

Pourtant, beaucoup de personnes ont du mal à poser des limites, par peur de décevoir ou de ne pas être à la hauteur.

1. Préserver son bien-être

Dire non, c’est protéger son énergie et sa santé mentale.

Trop de « oui » peut mener au stress, au surmenage et à la perte d’équilibre.

2. Affirmer ses limites

Refuser, c’est montrer que l’on respecte ses besoins et ses priorités.

Cela renforce l’estime de soi et inspire le respect des autres.

3. Mieux gérer son temps

En se concentrant sur ce qui compte vraiment, on évite de se disperser et on gagne en efficacité.

4. Éviter les abus

Dire toujours oui peut encourager les autres à profiter de nous.

Fixer des limites claires permet de créer des relations plus équilibrées.

5. Favoriser des relations saines

Une honnêteté respectueuse est mieux perçue à long terme qu’un oui contraint.

Dire non, c’est aussi dire oui à des relations basées sur le respect mutuel.

 Dire OUI à tout, c’est souvent se dire NON à soi-même.

Chaque fois que vous acceptez une demande qui ne vous correspond pas, vous sacrifiez un peu de votre énergie, de votre temps ou de vos priorités. Dire NON, ce n’est pas décevoir, c’est choisir en conscience ce qui est bon pour vous.

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Il y a des moments dans la vie où tout semble s’éteindre à l’intérieur.
Pas de raison précise. Juste ce vide, ce flou, cette impression de flotter sans direction. Comme si tout avançait… sauf toi.

Ce n’est pas de la faiblesse. C’est simplement ton cœur qui murmure qu’il a besoin d’autre chose.

 1. « Ce vide que tu ressens n’est pas un manque… c’est un appel. »

Ce sentiment de vide n’est pas ton ennemi. Il n’est pas là pour t’écraser, mais pour te réveiller.
Souvent, il apparaît quand on s’est trop éloigné de soi, de ses désirs profonds, de ce qui donne réellement du sens à notre vie.
Ce vide, c’est ton âme qui chuchote : « Reviens à moi. »

 Au lieu de le fuir, écoute-le. Il t’indique une direction.

 2. « Tu n’as pas à tout comprendre pour commencer à avancer. »

Quand on est perdu, on cherche désespérément des réponses claires.
Mais parfois, le sens ne se trouve pas d’un coup. Il se construit, doucement, pas à pas, à travers de petites décisions, des rencontres, des gestes simples.

La lumière ne vient pas toujours d’une révélation spectaculaire.
Parfois, elle vient d’un simple pas… fait dans le brouillard.

3. « Ta valeur n’a jamais disparu. Elle est juste ensevelie sous la fatigue, la douleur ou le doute. »

Quand on se sent vide, on croit souvent qu’on est « cassé », « inutile » ou « de trop ».
Mais ta valeur ne dépend pas de ce que tu ressens aujourd’hui. Elle est là. Immobile. Inébranlable.

Ce que tu ressens maintenant n’est pas qui tu es, c’est l’état dans lequel tu es. Et cet état peut évoluer.

4. « Tu n’es pas seul(e) à ressentir ça. Et non, ce n’est pas une fatalité. »

Ce sentiment de vide est bien plus répandu qu’on ne le pense.
Mais beaucoup se taisent, par peur d’être incompris. Le silence amplifie la douleur.
Le partage, lui, commence à la libérer.

Parler à quelqu’un, demander de l’aide, c’est un acte de force — pas de faiblesse.

5. « Le sens de ta vie n’est pas une destination, c’est un chemin que tu traces chaque jour. »

Tu n’as pas besoin d’avoir tout compris pour exister pleinement.
Chaque sourire échangé, chaque respiration consciente, chaque moment de douceur avec toi-même construit ce sens.

Le vide n’est pas une fin.
C’est un point de départ.

Pour aller plus loin

Si ces mots ont résonné en toi, sache que tu n’as pas à avancer seul(e). Parler, être accompagné(e), poser des mots sur ce que tu ressens peut être une vraie lumière sur le chemin.

👉 Je suis Laurence, coach de vie, et j’aide les personnes qui traversent des périodes de doutes, de perte de sens ou de vide intérieur à se reconnecter à elles-mêmes.

📅 Tu peux réserver un appel découverte gratuit de 20 minutes pour ouvrir cette première porte vers toi.

1. Le piège du “je suis mon métier”

On nous a souvent appris à nous présenter par notre travail :

“Tu fais quoi dans la vie ?”

Et sans s’en rendre compte, on finit par confondre ce qu’on fait avec qui on est.
Alors quand le travail ne nous apporte plus de satisfaction, quand on se sent inutile ou bloquée, tout vacille.

On se met à douter de sa valeur, à perdre confiance, à se dire : “Si je ne réussis pas ici, c’est que je ne vaux plus rien.”

Mais c’est faux.

Ton travail n’est qu’un rôle temporaire, pas ton identité profonde.

2. Un job, c’est un moyen — pas une étiquette

Le rôle premier d’un travail, c’est d’assurer ton indépendance financière et de te permettre de construire ta vie.
Pas de te définir.

C’est dans ta vie que se construit ta véritable valeur :

• dans tes choix,
• dans la façon dont tu gères les épreuves,
• dans les relations que tu nourris,
• dans les projets que tu fais naître.

Un job peut s’arrêter, évoluer, se transformer.
Mais ta valeur ne disparaît pas avec un contrat.

3. Pourquoi le sens s’effrite (et comment le retrouver)

Quand tu sens que le sens se perd, c’est souvent que :

• tu n’es plus alignée avec ce que tu fais,
• tes valeurs ne sont plus nourries,
• ou que ton énergie sert un cadre qui ne te ressemble plus.

Et ça ne veut pas dire que tu es “faible” ou “ingrate” : ça veut dire que tu évolues.
C’est normal d’avoir besoin d’autre chose, d’un nouvel élan.

4. Comment te redéfinir en dehors de ton job

Voici 3 pistes concrètes pour commencer à te reconnecter à toi :

💡 1. Fais la liste de ce que ton travail ne t’apporte plus.

Écris noir sur blanc ce que tu ne retrouves plus dans ton quotidien : sens, créativité, liberté, reconnaissance…
Ces manques te montrent ce que tu dois aller chercher ailleurs — dans un projet, une passion, un engagement, ou une évolution.

💡 2. Demande-toi : “Qui suis-je quand je ne travaille pas ?”

Quels sujets te passionnent ? Qu’est-ce qui te donne de l’énergie sans retour immédiat ?
C’est là que se niche ta vraie identité.

💡 3. Entretiens ta confiance autrement.

Prends du temps pour revaloriser tes compétences humaines : ton écoute, ta créativité, ta capacité à rebondir, ton empathie.
Ces qualités ne sont pas “hors pro”, elles sont le cœur de ta valeur.



👉 Je suis Laurence, coach de vie, et j’aide les personnes qui traversent des périodes de doutes, de perte de sens ou de vide intérieur à se reconnecter à elles-mêmes.

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Tout choix est difficile mais l’un te fait évoluer, l’autre t’éteint

-Se consacrer à ses projets, c’est difficile :

tu doutes, tu avances, tu recules, tu te demandes si tu es légitime.

-Ne pas les réaliser, c’est difficile aussi :

tu ressens le manque, la frustration, le regret de ne pas avoir essayé.

L’UN TE COÛTE DE L’ÉNERGIE.

L’AUTRE TE COÛTE TON ESTIME.

Et c’est là que se joue le vrai choix :

👉 celui du sens que tu veux donner à ta difficulté.

Pourquoi notre cerveau choisit souvent la mauvaise difficulté

Notre cerveau est programmé pour éviter la douleur immédiate.

Il préfère la sécurité du connu — plutôt que l’incertitude du changement.

C’est ce qu’on appelle le biais du confort.

Mais ce “confort” est souvent une illusion :

il nous garde dans des schémas qui ne nous conviennent plus, et nous éloigne de notre puissance d’action.

Le vrai courage, c’est d’apprendre à tolérer l’inconfort du mouvement

Le changement, ce n’est pas une ligne droite. C’est une série de micro-choix, de micro-actes.

Chaque jour, tu peux choisir ta difficulté

La prochaine fois que tu te dis :

“c’est trop dur”

Pose-toi cette question :

-Qu’est-ce qui sera le plus difficile à vivre dans 6 mois ?

-Avoir essayé et galéré ?

-Ou ne rien avoir tenté du tout ?

Ta réponse, c’est ton choix.

À RETENIR



Tout est difficile.

MAIS TOUT N’A PAS LA MÊME VALEUR.

Alors choisis la difficulté qui t’agrandit.

Celle qui te rapproche de la personne que tu veux devenir.

Pas celle qui t’enferme dans tes peurs.